Le blanchiment de la peau est une pratique qui date des années 60. Utilisée pour des raisons esthétiques, cette pratique n’est pas sans conséquence sur la santé.
''Il faut souffrir pour être belle ''
Effet de mode, goût personnel, ou contraintes imposées par leur mari, les femmes ont très souvent recours à la dépigmentation de la peau.
Cette pratique est pourtant aussi dangereuse qu'elle est répandue. Pour arriver à blanchir leur peau, les femmes (mais aussi de plus en plus d'hommes) utilisent des produits décapants qui fragilisent leur peau. Non seulement ces produits provoquent des taches blanches, plaques de boutons, cicatrices et cancers mais c'est également le risque de diabète, d'insuffisance rénale ou encore d'hypertension qui se multiplie à chaque application de ces lotions.
C'EST L'IGNORANCE QUI NOUS FAIT CHANGER LA COULEUR DE LA PEAU
CE QUI FAUT ABSOLUMENT SAVOIR SUR SA BELLE PEAU EBENE
La peau est constituée de trois couches : l'épiderme, qui est la plus superficielle ; le derme, qui contient du tissu conjonctif, c'est-à-dire des éléments riches en fibres élastiques, des vaisseaux sanguins, des nerfs, et enfin, l'hypoderme, qui est la couche la plus profonde et constitué également du tissu graisseux.
L'épithélium de la peau, formé de l'épiderme et du derme, donne sa couleur à la peau, et plus précisément certaines cellules : les mélanocytes. Elles produisent en effet de la mélanine qui est composée de plusieurs pigments.
C'est la qualité et la quantité de pigments contenus dans les cellules qui déterminent la couleur. Une personne noire a environ huit à dix fois plus de pigments qu'un Blanc. Un Asiatique, lui, en possède cinq fois plus.
Ces produits (sous forme de crèmes, gels, laits corporels ou savons) sont utilisés seuls ou en association. Ils sont en général appliqués sur tout le corps (plus rarement sur les parties découvertes seulement), une ou plusieurs fois par jour, le plus souvent durant plusieurs années.
La peau subit un renouvellement permanent. Il y a un équilibre entre le phénomène de destruction des cellules et du collagène, et leur fabrication. Ainsi, au bout du compte, la peau se renouvelle très régulièrement et l'épithélium peut assurer son rôle de protection. Il représente en effet une véritable barrière contre les agressions mécaniques, comme le soleil, ou chimiques.
De nombreuses personnes ont recours à la dépigmentation volontaire pour éclaircir la teinte naturelle de leur peau et certains médicaments peuvent agresser la peau, et le blanchiment fait justement parfois partie de ces effets secondaires. Ces produits, très nocifs, sont interdits mais peuvent être détournés de leur utilisation d'origine.
La dépigmentation détruit la barrière protectrice de la peau. Résultat : les rayons UV passent tout comme les infections.
Parmi ces médicaments, on peut citer la cortisone, dont les conséquences se voient donc sur la peau mais également sur l'état général, quand elle est prise à haute dose. Le risque est l' hypertension , in diabete , in cancer de la peau , une insuffisance renale , la perturbation du cycle menstruel ou encore des problèmes osseux parce que les corticoïdes empêchent la consolidation des articulations.
''Il faut souffrir pour être belle ''
Effet de mode, goût personnel, ou contraintes imposées par leur mari, les femmes ont très souvent recours à la dépigmentation de la peau.
Cette pratique est pourtant aussi dangereuse qu'elle est répandue. Pour arriver à blanchir leur peau, les femmes (mais aussi de plus en plus d'hommes) utilisent des produits décapants qui fragilisent leur peau. Non seulement ces produits provoquent des taches blanches, plaques de boutons, cicatrices et cancers mais c'est également le risque de diabète, d'insuffisance rénale ou encore d'hypertension qui se multiplie à chaque application de ces lotions.
C'EST L'IGNORANCE QUI NOUS FAIT CHANGER LA COULEUR DE LA PEAU
CE QUI FAUT ABSOLUMENT SAVOIR SUR SA BELLE PEAU EBENE
La peau est constituée de trois couches : l'épiderme, qui est la plus superficielle ; le derme, qui contient du tissu conjonctif, c'est-à-dire des éléments riches en fibres élastiques, des vaisseaux sanguins, des nerfs, et enfin, l'hypoderme, qui est la couche la plus profonde et constitué également du tissu graisseux.
L'épithélium de la peau, formé de l'épiderme et du derme, donne sa couleur à la peau, et plus précisément certaines cellules : les mélanocytes. Elles produisent en effet de la mélanine qui est composée de plusieurs pigments.
C'est la qualité et la quantité de pigments contenus dans les cellules qui déterminent la couleur. Une personne noire a environ huit à dix fois plus de pigments qu'un Blanc. Un Asiatique, lui, en possède cinq fois plus.
Ces produits (sous forme de crèmes, gels, laits corporels ou savons) sont utilisés seuls ou en association. Ils sont en général appliqués sur tout le corps (plus rarement sur les parties découvertes seulement), une ou plusieurs fois par jour, le plus souvent durant plusieurs années.
La peau subit un renouvellement permanent. Il y a un équilibre entre le phénomène de destruction des cellules et du collagène, et leur fabrication. Ainsi, au bout du compte, la peau se renouvelle très régulièrement et l'épithélium peut assurer son rôle de protection. Il représente en effet une véritable barrière contre les agressions mécaniques, comme le soleil, ou chimiques.
De nombreuses personnes ont recours à la dépigmentation volontaire pour éclaircir la teinte naturelle de leur peau et certains médicaments peuvent agresser la peau, et le blanchiment fait justement parfois partie de ces effets secondaires. Ces produits, très nocifs, sont interdits mais peuvent être détournés de leur utilisation d'origine.
La dépigmentation détruit la barrière protectrice de la peau. Résultat : les rayons UV passent tout comme les infections.
Parmi ces médicaments, on peut citer la cortisone, dont les conséquences se voient donc sur la peau mais également sur l'état général, quand elle est prise à haute dose. Le risque est l' hypertension , in diabete , in cancer de la peau , une insuffisance renale , la perturbation du cycle menstruel ou encore des problèmes osseux parce que les corticoïdes empêchent la consolidation des articulations.
Le nombre de mélanocytes est variable en fonction de la localisation : il y en a plus sur le visage que sur le corps. Mais ce nombre est identique d'une population à une autre. Les Blancs, les Noirs et les Asiatiques ont le même nombre de mélanocytes.
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